| 1783 - 826 pages
...mais le farte y fut porté fi loin, qu'en 1563 , lors il« l'enregiflrement des lettres-patentes de Charles IX pour la réformation du luxe , le parlement...roi feroit fupplié de défendre les coches par la ville ; & en effet , les confeillers de la cour ni les préfidens ne fuivirent point cet ufage dans... | |
| Jean Baptiste Denisart - 1783 - 728 pages
...; mais le faste y fut porté si loin, qu'en i563, lors de l'enregistrement des lettres patentes de Charles IX pour la réformation du luxe, le parlement arrêta que le roi serait supplié de défendre les coches par la ville; c'est ainsi qu'on appelait alors les carrosses,... | |
| 1833 - 622 pages
...cependant, ils parurent si fastueux, qu'en 1563, lors de l'enregistrement des 'lettres patentes de Charles IX, pour la réformation du luxe, le parlement arrêta que le roi serait supplié de défendre les coches par la ville. Et de fait, les présidents et les conseillers... | |
| 1833 - 568 pages
...nombre; cependant, ils parurent si fastueux, qu'en i563, lors de l'enregistrement des lettrespatentes de Charles IX, pour la réformation du luxe, le parlement arrêta que le roi serait supplie de défendre les coches par la ville. Et de î'iiit, les présidons et les conseillers... | |
| Daniel Ramée - 1856 - 254 pages
...faste, au contraire, y fut porté si loin qu'en 1 563, lors de l'enregistrement des Lettres patentes de Charles IX pour la réformation du luxe, le parlement arrêta que le roi serait supplié de défendre les coches par la ville ; et en effet, les conseillers de la cour, non... | |
| Denis Diderot - 1876 - 554 pages
...considérable; mais le faste y fut porté si loin, qu'en 1563, lors de l'enregistrement des lettres-patentes de Charles IX pour la réformation du luxe, le parlement arrêta que le roi serait supplié de défendre les coches par la ville ; et en effet, les conseillers de la cour, non... | |
| Ernest Deharme - 1888 - 348 pages
...ajoutent-ils, fut porté si loin qn'en 1565, lors de l'enregistrement des lettres patentes de l'.harles IX pour la réformation du luxe, le Parlement arrêta que le roi serait supplié de défendre les coches par la ville. Les conseillers et présidents continuèrent... | |
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