Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, Volume 22chez les Sociétés Typographiques, 1780 |
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Encyclopédie ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et ..., Volume 22 Affichage du livre entier - 1765 |
Expressions et termes fréquents
affez ainfi au-deffus auffi avoient avoit bafe bois c'eft c'eſt caufe chofe compofé conféquent confidérable corps côté deffus derniere différentes diftinguer divife drachmes efpeces enfuite eſt étoient étoit faint fang fans fe trouve feconde felon femblables femble fens fent fépare fept feroit fert fervent fervir feul fibres fiecle fignes fignifie fimple fituée foient foit font forte fous fouvent fubftance fuite fuivant fujet fupérieure fur-tout furface Géog Géogr grains groffe Hift jufqu'à l'autre l'efprit l'ufage laiffe lefquels liffes lorfqu'il lorfque maffe maniere mefure méme ment mode moelle monnoies montagnes mortier morve mouches mouffettes moule moulin mouvemens mouvement mufcles mufique murex murier muſcles n'eft néceffaire nerfs obfervations paffe paffions paillons paroît particuliere pefant perfonnes petite philofophes piés de long plante plufieurs pofe pouces de gros préfent prefque premiere puiffe quelquefois raifon refte riviere roue tion troifieme ufage vaiffeaux viteffe Voyez
Fréquemment cités
Page 230 - ... ou bien ils la promènent sur la terre pour lui faire examiner tout ce qu'ils y voient; enfin, ils l'occupent toujours le plus loin d'eux qu'il leur est possible. Cependant, comme ils veulent être philosophes...
Page 104 - Il ne fe montre jamais au peuple qu'avec un vifage ferein : fa gloire même fe communique à nous , & fa puiflance nous foutient. Une preuve qu'on l'aime, c'eft que l'on a de la confiance en lui ; & que , lorfqu'un miniftre refufe , on s'imagine toujours que le prince auroit accordé. Même...
Page 101 - Les vertus qu'on nous y montre sont toujours moins ce que l'on doit aux autres, que ce que l'on se doit à soi-même : elles ne sont pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens que ce qui nous en distingue.
Page 73 - ... ordinaires des villes impériales , en taxes de la chancellerie de l'empire ; enfin , en redevances ordinaires & extraordinaires...
Page 263 - ... nous en apercevions ; la désunion doit s'en faire de même sans exciter aucun sentiment ; quelle raison at-on pour croire que la séparation de l'âme et du corps ne puisse se faire sans une douleur extrême ? quelle cause peut produire cette douleur ou l'occasionner...
Page 493 - Le piftil fort du calice , il eft attaché comme un clou à la partie poftérieure de la fleur...
Page 45 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux, Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Page 262 - ... s'éteindre longtemps avant qu'elle s'éteigne entièrement, et dans le réel il ya peut-être plus loin de la caducité à la jeunesse que de la décrépitude à la mort ; car on ne doit pas ici considérer la vie comme une chose absolue, mais comme une quantité susceptible d'augmentation et de diminution.
Page 203 - Le gibier qu'on y voit confifte en bartavelles , coqs de bruyères , chamois , chevreuils & bouquetins. On y donne des leçons pour marcher d'un rocher à l'autre. Les fouliers d'ufage font une femelle de bois léger , qu'on attache avec des cuirs. On enfonce quatre clous dans le talon, & fîx fous la femelle.
Page 256 - J'arrêtai de sa mort la nouvelle trop prompte ; Et, tandis que Burrhus allait secrètement De l'armée en vos mains exiger le serment, Que vous marchiez au camp, conduit sous mes auspices...