Dictionnaire pour l'intelligence des auteurs classiques, grecs et latins: tants sacrés que profanes, contenant la géographie, l'histoire, la fable, et les antiquités...Seneuze, 1770 |
Autres éditions - Tout afficher
Dictionnaire pour l'intelligence des auteurs classiques, grecs et latins ... [François] Sabbathier Affichage du livre entier - 1770 |
Dictionnaire pour l'intelligence des auteurs classiques Grecs et ..., Volume 7 François Sabbathier Affichage du livre entier - 1770 |
Dictionnaire pour l'intélligence des auteurs classiques grecs et ..., Volume 7 François Sabbathier Affichage du livre entier - 1770 |
Expressions et termes fréquents
affez affure ainfi ajoûte Anciens auffi avoient avoit ayant Bétyles Bible Bibliothéque Bithynie Bocchoris Bofphore Boftres Boïens Bomilcar Bouclier Bruttiens c'eft C'eſt C'étoit Caffius caufe Céfar cens chofe Cicéron compofé confervé confidérable Conful coûtume de-là Diodore de Sicile Égypte enfans enfuite eſpèce eſt Étienne de Byzance étoient étoit facrés faifoient faifoit fans fecond fecours felon femble fentiment feroit fervir feulement fiécle fiége fignifie fituée foin foit foldats font fous fouvent fuite fuiv fujet Gaule Gaulois Grecs habitans Hérodote Hift hommes ifle Infcript jufqu'à Junius Brutus l'Acad l'an de Rome l'hiftoire l'ifle l'ufage laiffa Lett long-tems lorfque Lucius Junius Brutus Mém ment Montf n'avoit n'eft paffage paffer païs paroît Pauf perfonne peuples Pline plufieurs Poëte pouvoit préfent prefque Prince Ptolémée raifon refte rent Romains s'étoient ſes Strab Strabon Teftament temple tems Thrace tion troupes ufage vaiffeaux verfion
Fréquemment cités
Page 436 - Ville ; & quand ils apprirent que les ennemis étoient en campagne, ils marchèrent à leur rencontre. Les deux armées étoient à peu près égales en nombre ; elles avoient l'une & l'autre la même ardeur pour le combat. Dès qu'elles furent en préfence , avant même que l'infanterie eût pris fon quartier dans le camp , il y eut une légère efcarmouche. Peu de tems après, on fe rangea en bataille dans le même ordre. Valérius commando...
Page 216 - Ne point faire à autrui ce que » nous ne voudrions pas qu'on nous » fît : « voilà la regle qui détermine quelles fortes de traitemens la nature nous interdit à l'égard du refte des hommes.
Page 60 - Lacédémoniens n'avaient point de livres; ils exprimaient tout d'une façon si concise et en si peu de mots, que l'écriture leur paraissait superflue, puisque la mémoire leur suffisait pour se souvenir de tout ce qu'ils avaient besoin de savoir. Les Athéniens, au contraire, qui étaient grands parleurs, écrivirent...
Page 263 - Aussi fut-on obligé de créer un 'tribun et d'autres officiers des boucheries, c'est-à-dire d'augmenter l'inconvénient ; car on peut tenir pour maxime générale que tant qu'on n'aura aucun moyen qui contraigne les hommes en place à faire leur devoir, c'est rendre un désordre beaucoup plus grand, ou pour le présent ou pour l'avenir, que d'augmenter le nombre des hommes en place. La création du tribun et des officiers des boucheries ne...
Page 489 - Réaumur remarque qu'on tireroit la liqueur de ces grains , qu'il appelle des œufs de pourpre , d'une manière infiniment plus commode , que celle dont les Anciens fe fervoient pour ôter la liqueur des Buccinum. Car , il n'y auroit d'autre façon à faire , après avoir ramaiTé de ces œufs , 6k les avoir lavés dans l'eau de la mer pour leur ôter , autant qu'il...
Page 1 - Dictionnaire pour l'intelligence des auteurs classiques grecs et latins, tant sacrés que profanes, par Fr. SABBATHIER. Pari», 1815, in-8. (Tome 37e et dernier.) 6 » Dit (Le) de menage, pièce en vers du XIV«' siècle , publié, pour I première fois par MG -S.
Page 360 - Audi arrivat-il que ce détachement pafTa le fleuve durant la nuit , partie à la nage ou à la faveur de leurs boucliers, qui leur fervoient comme de nacelles , partie à gué , la grandeur dont ils étoient , leur en donnant la facilité. Les Grecs, de leur côté , qui étoient au haut du fleuve , ayant appris par leurs coureurs , que l'ennemi l'avoit parte , ne tardèrent pas à regagner le gros de leur armée.
Page 64 - Leur fureur fut prefque incroyable, & a caufé la perte irréparable d'un nombre infini d'excellens Ouvrages. Le premier de ces tems-là , qui eut du goût pour les Lettres, fut Cafliodore, favori & miniftre de Théodoric , roi des Goths, qui s'établirent en Italie, & qu'on nomme communément Oftrogoths.
Page 545 - L'impie fuperftition forçoit •> celles qui refufoient d'affifter à » cette cérémonie , à fe proftituer » pendant un jour , pour employer » au culte du nouveau Dieu l'argent » qu'elles gagnoient à cet infâme » commerce. Au dernier jour de la •' fête le deuil fe changeoit en joie , " Se chacun la témoignoit comme "fi Adc-nls a voit été reffufcite.
Page 362 - Car', en premier lieu , tont le terrein qu'occupoit leur armée, fut agité d'un violent tremblement de terre , qui dura une bonne partie du jour. Enfuite, il y eut un tonnerre & des éclairs continuels , qui non feulement effrayoient les Gaulois , mais qui les empêchoient d'entendre les ordres de leurs Généraux. La foudre tomboit fréquemment fur eux, & ne tuoit pas feulement celui, qui en étoit frappé. Une exhalaifon enflammée fe communiquoit à ceux qui étoient auprès , & les réduifoit...